Les mafias

Liberté, égalité, fraternité….pas pour tous ?

La DEPECHE du 9 décembre 2010.
Soupçonné de plus de 70 cambriolages, il est écroué.
Je ne soutiens pas cette personne qui a commis des délits.

Je conteste.
Il chie partout, et le Français raque.
La vie d’un homme politique malhonnête.
Ce qui n’est pas juste, Chirac en a volé 10 000 fois plus ; et je suis modeste.
Il est en liberté.
C’est vrai, c’est un irresponsable.
C’est un pur qui se lave les mains dans le sang de ses victimes.
L’immunité perdure, il sera peut-être jugé en mars 2011.
De toute manière, il ne peut être condamné.
Quand il volait le peuple il était sous protection de la loi votée par ses complices, l’immunité parlementaire.
C’est le voleur qui dit aux gendarmes,’’ je dévalise la banque, vous ne faites rien la loi me protège ‘’.
Nous sommes les esclaves volontaires de ces tyrans.
Qui ont créé une multitude de lois tordues, pour qu’à la fin plus personne ne soit à même d’analyser le vrai du faux.
Mitterrand, Chirac ont pillé la France, les Français sont assujettis au bouffon du Fouquet’s.
En voyage de fin d’année en Inde.
Le couple présidentiel.
Les Indiens n’avaient d’yeux que pour la 1ère dame de France.
Sans Sarko, Clara Bruni aurait fait des affaires avec les Indiens.

Je prends la responsabilité de mes écrits. Voir affaire goguy sur Internet.

Pour exiger l’impôt, il faut respecter les droits des citoyens.

Jacques Goguy.
2, rue du Fief de la Croix.
79330 St-Varent.
Tél. 05 49 67 68 03.

ST-Varent le 7 janvier 11.

Monsieur Nicolas Sarkozy.
Président de la République.
55, rue faubourg St-Honoré.
750 058 Paris.

Lettre en recommandé avec avis de réception.
Objet : je n’ai pas à verser des impôts à un Etat qui m’a volé mes biens.

Monsieur,

Le 14 novembre 2010, je vous ai adressé par courrier ma taxe d’habitation.

Je viens de recevoir un rappel de Lille, qui me facture une augmentation de 10 %. Je vous renvoie donc cette facture, que je considère ne pas avoir à payer, et j’informe les impôts de cette ville que vous êtes responsable de mon refus.

La raison ; des voyous employés par l’État, se sont permis de me droguer pour spolier l’héritage de mon père, l’individu un ancien commandant de police Guillot, un voyou, qui a pour complice Suire un ancien contrôleur général de la police à la retraite. Ces criminels sont en liberté, ils sont responsables de la fermeture de nombreuses usines, du chômage, de nombreuses personnes se sont suicidées suite à ces pertes d’emplois.

Dans un État crapuleux qui ne respecte pas mes droits, condamnés dix fois pour avoir écrit la vérité sur Internet. Je peux prouver que ces individus sont des malfaiteurs. De plus le fils de Suire qui est commissaire divisionnaire à Paris, a conditionné son épouse pour qu’elle se supprime, elle s’est tuée le 10 janvier 2005.

Je suis un adhérent de ANVEDJ, d’Anticor président d’honneur le juge Halphen, et autres associations, des Contribuables Associés, nous sommes tous unanimes les impôts sont illégaux. Nous n’avons pas à verser des salaires à des politiques qui ont ruiné la France, à des politiques voyous, à des incapables, à des fainéants.

A nouveau, je vous demande que mes biens me soient restitués dans les plus brefs délais, que ces crapules soient punies comme il se doit, quand justice me sera rendue, peut être que je verserai des impôts à l’État licencieux français.

Dans l’attente de votre réponse, veuillez agréer, Monsieur, mes salutations distingués.

Jacques Goguy.

Je n’ai pas à payer des impôts à un Etat crapuleux

Ma feuille d’impôt adressée au président de la République.
L’Élysée botte en touche et expédie cette feuille à la Préfète des Deux-Sèvres.
Réponse à la Préfète.

Jacques Goguy.
2, rue du Fief de la Croix.
79330 St-Varent.
Tél. 05 49 67 68 03.
St-Varent le 6 février 2011.

Monsieur Laurent Simplicien.
Préfecture de Niort. BP 522.
4, rue Du Guesclin.
79099 Niort Cedex 9.

Double de cette lettre au Président de la République.

Monsieur,

J’ai bien reçu votre courrier du 1er février 2011.

Je ne verse pas des sommes à un État qui bafoue mes droits, pour cette raison, je vous retourne la demande de taxe de Lille. De plus le code général des impôts est illégal.

Pas de Bases Légales pour le Code Général des Impôts et pour le Livre des Procédures Fiscales
Il est incontesté et incontestable que le code général des impôts et le livre des procédures fiscales (articles 1 à 2027 CGI et articles L1 à L285 du LPF ont été adoptés par voie réglementaire et non législative, en violation absolue ; des principes fondamentaux de la séparation des pouvoirs et des articles des constitutions de 1946 sous laquelle a été pris le décret du 6 avril 1950 créant le Code général des impôts, (articles 1 à 2027 CGI et articles L1 à L285 du LPF1 qui a été adopté par voie réglementaire et non législative
Auriez-vous l’obligeance, après lecture attentive du document ci-joint, de me confirmer, de façon précise et motiovée la justification légale et constitutionnelle des impôts que vous me réclamez ?
Condamnés dix fois pour la même chose, ce qui est anticonstitutionnel. Ces sommes ont été versées à des voyous notoires, des criminels, fait signalé à Madame la Préfète ; ces individus sont protégés par la justice.

De la concussion.
Article 432-10 Modifié par Ordonnance n°2000-916 du 19 septembre 2000 – art. 3 (V) JORF 22 septembre 2000 en vigueur le 1er janvier 2002
Le fait, par une personne dépositaire de l’autorité publique ou chargée d’une mission de service public, de recevoir, exiger où ordonner de percevoir à titre de droits ou contributions, impôts ou taxes publics, une somme qu’elle sait ne pas être due, ou excéder ce qui est dû est puni de cinq ans d’emprisonnement et de 75 000 euros d’amende.
J’accuse l’État de détournement de fonds, de spoliation de la fortune de mon père, avec la complicité de mon ex-famille, de dissimulation de preuves, de plus par courrier du 3 janvier 2011, je demandais à Madame la Préfète d’intervenir auprès des maires de Thouars et d’Airvault, ces mairies ont falsifié mon état civil, ainsi que l’acte de reconnaissance de ma mère ; sur la partie haute de cet acte une mention était portée, elle indiquait le registre qui contenait ma reconnaissance. Cet effacement produit par une intensité lumineuse intense. Il y a bien dissimulation de preuve.

Aucune enquête n’a été effectuée pour connaitre l’enrichissement de mon gendre de Sablé, Gérard Renault, idem Guillot que j’accuse de m’avoir drogué pour me dépouiller de mes biens ; ainsi, que son complice Suire, j’ai des preuves concernant ces crapules, je vous demande en vertu de l’article 40 du Code de procédure pénale, de faire en sorte que ces malfaiteurs soient punis comme il se doit.

Article 40.
Modifié par Loi n°2004-204 du 9 mars 2004 – art. 74 JORF 10 mars 2004
Le procureur de la République reçoit les plaintes et les dénonciations et apprécie la suite à leur donner conformément aux dispositions de l’article 40-1.
Toute autorité constituée, tout officier public ou fonctionnaire qui, dans l’exercice de ses fonctions, acquiert la connaissance d’un crime ou d’un délit est tenu d’en donner avis sans délai au procureur de la République et de transmettre à ce magistrat tous les renseignements, procès-verbaux et actes qui y sont relatifs.
Je vous serais très reconnaissant d’intervenir auprès des autorités compétentes, afin de ne plus être importuné par l’administration fiscale qui me réclame des sommes que je ne dois pas.
Pour que je paie des impôts, il faudrait que l’État me rembourse tout ce qu’il m’a volé.
« Je veux être le président qui va remettre la morale au cœur de la politique. Je veux une démocratie irréprochable. Si l’État veut être respecté, il doit être respectable. »
Nicolas Sarkozy, discours de candidature du 14.01.2007

Salutations.
Voir sur Internet : affaire goguy.

Une merde c’est glissé sur mes écrits « Réponse à Jacky Princay aux accusations mensongères de Jacques » une merde qui glorifie Guillot un voyou, il s’agie du cite Citron vert, il y a une fenêtre qui ne prend pas en charge vos réponses.
J’accuse le maire d’Airvault d’avoir falsifié mon état civil et d’être complice des voyous qui ont spolié mon héritage, l’affaire est en cours, une plainte a été déposée le 13 février 2011 à Vannes contre Madame Bizeul, expert en graphologie, cette personne à fait un rapport qui ne correspond pas à la réalité. Fait puni par l’article 434-20.

Moi aussi, je suis candidat à l’élection Pestilentielle.
Sarkozy arrêtera la politique en cas de défaite, j’ai déposé plainte contre cet individu qui est en situation irrégulière à la tête de l’État. Donc ! il est inéligible.
Sarkozy aura pour obligation de rembourser tous ses salaires, et les dépenses inconsidérées lors de son passage à l’Élysée. Il en sera de même pour tous les membres de son gouvernement, son épouse étant solidaire, elle aura pour obligation d’apporter son soutien financier, pour régulariser les dépenses de sa prise de fonction.
Ces gens ont acquis le goût de l’hypocrisie du vice, c’est leur principale occupation, ils ont enlevé toute illusion de justice et d’honnêteté.
C’est auprès du lion que j’ai vu le chacal ; en habits somptueux et d’une grande audace, l’ambition enfante le crime, Sarkozy à le cœur corrompu, il rêve d’actions horribles, il a du mal à calmer son sang qui bout, comme un chien qui sent le péril et jappe.
Ce scélérat vénéré par ses ouailles, lui obéit comme à un tzar.
Je suis candidat à la présidence voir sur Internet jacques goguy.

Les Brunet dit « les Thénardier » en plus détestable cruauté, d’une insoutenable inconsistance

Cette racaille a anéanti ma vie, volé ma jeunesse, souillé la mémoire de ma famille française et allemande, ces créatures ont détruit mon intégrité, ma conscience ; en utilisant des drogues pour me déposséder de tous mes biens ; ces monstres ont ruiné ma santé avec leur substance toxique, traîné mon honneur dans la boue, torturé ma conscience, par des actions commises, graves, incontrôlées, contre ma volonté, sous l’emprise de produits psychoactifs.

J’avais 19 ans, seul dans la vie, orphelin de père et de mère. En mille neuf cent soixante, je travaillais chez un décorateur, Roger Rat, je lui demande s’il connaissait une chambre à louer sur Thouars, il en connaissait une chez madame veuve Brunet Clotilde, rue Lafontaine, me conduit chez cette personne.

Pour mes vicissitudes perpétuelles, je loue cette chambre, pour mon malheur, je suis tombé chez les Thénardier .

Madame Clotilde, une mauvaise graine aux mille ressources diaboliques, cruelles en méchanceté, en vice incurable ; je suis tombé chez une misanthrope ombrageuse ; d’une monstruosité morale inconnue chez les humains.
Les Thénardier en plus atroces, des barbares inhumains, quand ces créatures ont découvert que j’étais l’héritier d’une immense fortune, une aubaine pour cette vieille charogne sulfureuse, qui a l’habitude de caresser l’injustice par des œuvres scandaleuses, le pigeon est tombé dans la basse-cour.

De plus, je suis un enfant né de la haine du bon peuple de France, je suis le fils d’un Boche, mon père me paraît bien sympathique, à l’examen de toutes les fripouilles, qui n’ont dépouillé de tous ses biens ; c’est vrai l’argent n’a pas d’odeur même celui d’outre-Rhin , on parle d’argent sale, ces bandits en usent, pour avoir volé des milliers d’employés, ils ont du sang sur les mains, du sang français.

Je suis né le premier septembre 1941, mon père Kurt Muller était un officier allemand, je suis un enfant né de la défaite du bon peuple de France ; nous sommes des milliers d’enfants nés de soldat de l’occupation. Après la guerre ; on était considérés comme des chiures, nous étions l’image vivante de l’allemand qui n’avait pas quitté la France ; une persécution haineuse et raciste nous a accompagnés, nous sommes responsables de la haine des Français pour le peuple allemand, de la déchirure d’une France écrasée par une invasion éclair de la Wehrmacht

Après la guerre les femmes ont été prises en otages, humiliées, la tête rasée, couverte de crachats par les résistants de dernière heure, la bassesse indigne de ces individus, des jaloux envieux de bonne chère refusée, une vengeance gratuite, une œuvre bestiale donnée à ces bourreaux, beaucoup de prisonniers français ont aimé des allemandes, ce qui devait être interdit, ce qui est permis pour les hommes, est censuré pour les femmes.

Pour protéger les enfants nés de parents allemands contre l’agressivité des Français,sur d’innocentes victimes, on a pratiqué des falsifications d’état civil ; l’enfant a gardé le nom de sa mère ; je suis dans ce cas de figure, mon père m’a reconnu à Airvault, ce document a été placé dans un registre qui ne correspond pas à ma naissance, j’ai les preuves de cette falsification.

Après la défaite de l’Allemagne, ma famille française a tout fait pour me faire oublier cette période tragique, pour les Français et les enfants nés de parents allemands, ce qui a été préjudiciable pour mes recherches futures, nous avons tous le désir de connaître nos racines, qu’elles soient bonnes ou mauvaises

Ma famille Müller, Assmus Élisabeth, des industriels ; les Thénardier étaient informés de l’immense richesse de ma famille, une formidable aubaine pour ces créatures, on s’est bien gardé de me parler de cet héritage. La raison : la dégénérescence mentale de ces demeurés, d’une audace sans retenue ; ont commencé à être des escrocs criminels dans leur esprit malade, cela devait être un traumatisme neurologique morbide, qui devait les hanter, des pensées malsaines pour assouvir leurs pulsions criminelles, voler un trophée sans gloire.

Page 2

C’est une imposture contre tout entendement, cette racaille, pour me soumettre, a utilisé des méthodes d’une infâme bassesse ; la drogue.
Robert Brunet le fils de Clotilde, est allergique au travail, sa femme est employée dans une pharmacie, elle y subtilisait ses produits pour me conditionner.
Cette drogue pour une opération honteuse, criminelle, abjecte par son acte opératoire. Ces maudits ont abusé un semblant de conscience qui leur restait, pour des plaisirs illicites, immédiats, ce sont des homicides.

D’une hypocrisie doucereuse de lâcheté, se faire passer pour des anges dans leur entourage, ce sont des monstres psychopathes.
Pour réaliser cette forfaiture, ces vauriens ont tenu conseil, les Thénardier sont devenus les opérateurs de la plus importante escroquerie réalisée en France.

Pour échafauder un scénario digne du grand banditisme, on est un gibier de potence, où un malade mental, je pense que ces créatures étaient contaminées par ces deux virus. Je ne suis plus dans la France occupée, c’est la drogue qui m’habite. Je n’étais plus maître de mes pensées, ni de mes actes, je suis l’otage de ces créatures.

J’étais pris au piège de l’oiseleur pour des souffrances infernales. Quelle audace, les Thénardier n’ont aucune retenue, pour imaginer un stratagème si crapuleux, si coupable, si criminel, si dramatique.
Pour être honnête, il faut apprendre à distinguer le bien du mal, l’honnêteté consiste à faire l’un et à condamner l’autre. Ces créatures sont des bêtes dépourvues de raison.

Le risque était limité pour ces mécréants, mon père est mort le 28 janvier 1945, à Berlin, ma mère, le 19 janvier 1956, mon oncle connaissait ma famille allemande, pour cette raison, on l’avait isolé ; la drogue aurait perdu tout son effet, si mon oncle avait parlé de mon père ; je suis le principal témoin donné en pâture à Moloch à la conception antique qui opposait l’être et le devenir, étant sous le pouvoir de ces margoulins.

Ces mots, je les écris après la rupture de ces ardents antagonistes du bien.
Ces vauriens ont altéré la vérité qui a été jetée au bourbier, il faudra que le crime paye sa dette.

Je me souviens de tout, dans les moindres détails, je vais coucher mes observations sur ces pages.
Mon argumentation est rigoureuse et vigoureuse, en même temps procède abscons, pour les artifices tortueux qui déroutent l’esprit en quête de la vérité.

Les Thénardier, des loups sanguinaires aux dents longues ; déguisés en brebis.

La logique est statique, une argumentation logique satisfaite l’esprit. Pour cette raison, je serai le plus rigoureux et le plus clair possible dans les détails

Pour piéger un animal, il faut un appât qui l’attire et le séduit, en ce qui me concerne la chose est plus complexe, car elle n’est pas naturelle ; je suis devenu un objet pour les Thénardier qui me manipulaient selon leur bon plaisir.

Pour la maîtrise de leur projet infâme, ces créatures me proposent de prendre pension chez eux ; le piège se referme ; (J’étais déjà sous contrôle) je quitte mes amis de la pension de famille, son ambiance chaleureuse de la rue Denfert Rochereau, la nourriture était de qualité, la pension bien tenue par Madame Gaborie, c’est un, de mes regrets de jeunesse.

Ma nouvelle pension chez les Thénardier n’avait rien de chaleureux, de plus, la boustifaille était très ordinaire, genre Mc do, un restaurant sans étoiles, si une, la belle-de-nuit. Une victoire pour ces prédateurs, le pigeon est en cage, ces créatures maîtrisaient leur projet diabolique ; pour ces monstres, c’était d’une facilité enfantine, me manipuler avec leurs produits de merde, de plus, c’était sans risque, un crime en toute impunité.

Page 3
Pour spolier mes biens, ces créatures avaient tout prévu, me coller la courtisane, elle vivait avec sa mère ; à table la vieille sorcière démoniaque me provoquait d’intenses émotions, du genre, elle est belle ma fille, pour peu elle l’aurait mise à poil, une mise en valeur de la marchande d’amour, ce qui est sûre, c’est une belle salope.

Cette créature de onze ans mon aînée, Messaline de son état, très prisée des hommes en rut.
De ses plaisirs insatiables de débauche effrénée, elle avait un fils de ses libertinages, sans compter ses nombreuses suppressions d’anges, une dévoreuse d’hommes vigoureux.

Il faut être suicidaire pour épouser une telle pouffiasse.

J’avais 19 ans conditionnés par ces mécréants, et, cette créature qui s’offre avantageusement, pour assouvir ses pulsions sexuelles immodérées, me séduire sûrement, l’intention étant, de me coller cette traînée ; qui avait un avenir obscur d’une famille agrandie de bâtards, sans homme à la maison.

Tous les soirs elle venait se vautrer dans mon lit, pour mon éducation sexuelle, c’était une experte sans diplôme qui avait appris son métier, comme le maçon au pied du mur ; j’avais goûté au venin du serpent qui avait séduit Eve, ma condamnation 30 ans de calvaire avec la grue + la violence à ma vieillesse. Elle me faisait du chantage, je vais épouser Maurice Clochard, je serais mannequin à Paris, je pense qu’elle avait plus de chance sur le trottoir.
Elle disait ta mère était bien mère, à la différence mon père m’a reconnu.

Le drame se joue en coulisses, je suis le mouton que l’on mène à l‘abattoir. Sans famille, drogué par ces vautours ; ces créatures avaient obtenu l’agrément du conseil de tutelle ; pour que j’épouse la vieille sauterelle, une prostituée célèbre dans le département des Deux-Sèvres et de proximité, une femme dépourvue de moralité, de droiture, sans scrupules ; c’est le couronnement de leur complot machiavélique.

Je peux en vouloir à la confrérie des tutelles ; aux sages de Parthenay, des protecteurs de l’enfance privée de parents, c’est tout bonnement scandaleux, mon avenir a été détruit par cette injustice flagrante ; de plus, la mère Clotilde Thénardier n’est pas un exemple d’honnêteté, elle a été surprise à chaparder dans le magasin Novalia en début d’année 1961. Descendue à pied rue Saint-Médard, elle est remontée en voiture, avec les poulets au commissariat, son exploit est inscrit sur la main courante.

Je devais faire mon service militaire en septembre 61, il y avait urgence pour ce panier de crabes, de me coller la marchande d’amour, un militaire célibataire avait mille occasions de rencontrer une jeune fille de son âge, les Thénardier ne pouvaient pas prendre ce risque.

Les tutelles n’offrent aucune protection aux enfants sans famille ; cette institution judiciaire n’est que rituel et grenouillage, elle occupe des fonctionnaires plus ou moins honnêtes.

j’ai épousé la paillarde, le 4 avril 1961, je deviens père de famille, d’un fils né le 10 octobre 1952, je devais être un étalon précoce ; à cette époque, j’avais onze ans, je courrais dans la cour de l’école de Saint-Jouin-de-Marnes.

À cette noce étaient présents Brunet et sa femme, Saboureux et sa femme. Je voulais inviter la famille Guénéchaud, de braves gens, qui avaient pris soin de moi quand j’étais en apprentissage, mon oncle et sa femme. Les Thénardier ont décliné ces invitations, ces créatures ne pouvaient pas prendre le risque d’inviter mon oncle qui aurait parlé de mon héritage allemand, c’était la fête pour les Thénardier, pas pour moi, c’est le début de mon calvaire.

C’est sans risque la ribaude est casée; la kleptomane Clotilde cette maudite sorcière parlait à sa fille devant moi, comme si je n’existais pas ; tu ne vas pas lui laisser tout cela, elle parlait de la fortune de ma famille allemande, tu le donnes à ton frère, cela prouve bien que j’étais conditionné, elle testait l’efficacité de ses produits, j’étais resté impassible, sans réaction, à cette époque, j’ai même oublié cette anecdote.

Page 3 bis

Il ne faut pas confondre concubinage, un homme et une femme qui vivent ensemble ; et un homme qui profite des ardeurs excessives d’une gourgandine, qui se donnait au premier venu.

Des expériences de concubinages, elle en a fait plusieurs ; une aventure avec un Africain qui devait aimer la bonne chère, blanche exposée pour favoriser son entreprise , pour des nuits agitées, sans sommeil, dans une débauche de partie de jambes en l’air. Cet homme du nom de Kakou avait arrondi la dame, cela ne devait pas être au programme, de plus, Kakou ne devait pas avoir une passion excessive, pour cette femme de petite vertu qui était limitée intellectuellement, elle-même ne devait pas trop aimer cet homme, pour ne pas avoir gardé son enfant, ou bien elle est raciste pour avoir avorté.
C’est une concubine pleine de ressources, qui use de concupiscence, d’artifices grossiers, de partouze, de substances ou méthodes interdites, pour satisfaire ses désirs immoraux.

Cette hétaïre qui n’a pas la grace antique, c’est une dévergondée, qui participait a des parties fines chez madame Roy qui tenait un magasin d’appareils ménagé route de Saumur, on y participait des orgies avec des notables du Thouars genre DSK, dans les années 1957-1960, des spectacles étaient donnés en petit comités dans cette bonne ville, des ballets roses, je connais une personne qui se donnait en spectacle la fille de Jean R.

Quand, je pense à tout le mal que cette créature m’a fait subir, je ne peux pas être tendre avec cette furie meurtrière.
La justice a des égards pour cette trainée, nul ne possède d’autre droit que celui de toujours faire son devoir.

Cette femme est la doyenne des garces, protégée par le nombre important d’individus impliqués dans cette affaire, on a jeté une obscurité inévitable à la vérité. Les Thénardier m’ont drogué lorsqu’ils étaient sûrs que leur patient était pris dans la nasse.

Ce mariage, un attelage disparate, une vieille carne, qui trottait à côté de bucéphale, les tutelles ont vraiment mauvais goût, pour m’avoir choisi une ancienne pouliche de compétition.
Un mariage, c’est mettre deux beaux chevaux qui trottent ensemble, du même pas, la tête relevée.
À mon avis, les tutelles sont une escroquerie, ces gens par fantaisie débridée, inexcusable de réputation exécrable d’autorité, par d’incroyables sottises, détruisent des vies.

Ma colère est active contre mon pays d’adoption, c’est la galère, l’oppression, le racisme, l’injustice, escroquerie tout genre, des prises en otages, racket, c’est le goulag politico-judiciaire français.

C’est le côté parjure des tutelles, qui n’ont aucun respect pour les enfants sans famille, des vassaux, d’une république d’usurpateurs d’inégalité sociale ; le peuple est si utile pour la vie de l’état, et si méprisé par ses dirigeants, qui nous écrasent d’impôts illégaux. Il est urgent pour le peuple de rappeler à ses devoirs le gouvernement pour des réformes indispensables pour la survie de la France.

Mon malheur avait été prémédité, le jour où j’ai mis les pieds rue Lafontaine, j’ai perdu mon autonomie d’homme libre, chez des monstres sanguinaires. L’argent, c’est la racine de mes déboires, l’immense fortune de ma famille allemande a fait une multitude d’envieux, les Thénardier des instruments qui ont servi des hommes politiques, des voyous ont exploité mes biens à mon insu, ces bandits volaient les bénéfices d’actions qui étaient placés dans de grosses entreprises.

Localement, en l’année de grâce et de garce 1960, un politique du Thouars, ont aidé les Thénardier dans l’œuvre sulfureuse de cette racaille, me coller la Vénus d’ infâme débauche, cet individu sans pudeur avait décidé d’exploiter la fortune de mon père ; à la lecture du conseil de tutelle, ça pue un arrangement local, le jour où j’ai mis les pieds chez les Brunet, c’était prévu que l’on me fourgue la pute qui étaient connues des notables, genre DSK qui fréquentait la maison de débauche route de Saumur .

J’étais pris au piège.

Page n° 4

Ces créatures ne perdent pas de temps, la bique me demande de mettre ma signature sur la partie basse d’une feuille blanche (il y a problème) j’ai signé, ce qui est contraire à mes principes ; cela prouve que ces crapules me droguaient, je demande l’utilité de ma signature ; elle me dit, c’est pour mon frère Robert ; le handicaper du travail, un paresseux comme lui, cela veut dire quelque chose, qui pue l’abus de confiance ; depuis, je connais la raison de cette demande, il s’était fait gestionnaire de mes biens

Merci les tutelles de m’avoir donné en holocauste chez des crapules, des criminels : j’ai honte pour vous !

Un mariage qui n’est pas réglementaire, c ‘est un faux en écriture publique, une escroquerie, une opération frauduleuse, une atteinte à la dignité de la victime ; ce mariage est sans valeur légale de droit ; dans ce cas de figure pour trois raisons :

1 ) Il y a faux et usage de faux, j’ai été marié sous le nom de Goguy ; mon vrai nom est Jacques Müller.
Sur l’acte de mariage, en date du 4 avril 1961, il est écrit Goguy Marie Josèphe (Hélène). C’est un faux en écriture.
La carte d’identité de ma mère en date du 22 avril 1940 il est écrit Marie-Josèphe Goguy, le troisième prénom Hélène ne figure pas. Les officiers de l’état civil ont pour obligation d’écrire tous les prénoms ; en 1940 même les pseudonymes ou sobriquets reconnus. C’est Balquet l’ancien maire qui a ajouté Hélène sur les actes D’Airvault.

La raison de l’ajout Hélène sur l’état civil de ma mère qui est né à Airvault.

Son état civil a été falsifié intentionnellement, après la guerre, cela permis à l’employer de mairie de Thouars de transformer Müller en Hélène, je suis né 1er septembre 1941 à Thouars, mon père avait demandé le registre pour écrire son nom après Marie-Josèphe avant Goguy ; il a utilisé un crayon à mine graphique et encre, que l’on mouillait avec sa salive.

La falsification de mon acte de naissance n° 132 après la guerre; seule, la partie graphique pouvait être gommée sans altérer l’acte, il restait la partie encre qui ne pouvait être grattée. On a modifié MÜller en Hélène, c’est une falsification grossière qui est visible à l’oeil nu. Le nom de Müller a été écrit verticalement, au milieu de l’acte, aucun officier de l’état civil n’écrit à cet endroit, la marge est prévue à cet effet.

Toutes ratures, erreurs, mentions non conformes font l’objet d’une déclaration au tribunal de grande instance qui établit un procès-verbal. De plus, la falsification de l’état civil fait l’objet d’un jugement, aucune trace ?
Il y a bien accord entre les différents services. Cela a permis d’occulter mes racines, de me faire plumer par les Thénardier.

Sur l’acte de mariage, il est écrit, qu’il n’a pas été fait de contrat de mariage, cela pour permettre à l’organisation terroriste locale de me dépouiller de la fortune de mon père.
Cet acte de mariage est un faux, il est sans valeur. Ce mariage est NUL.

2 ) Pour quelle raison, je n’ai pas été convoqué au conseil de tutelle. Aucune autorisation écrite de ce mariage arrangé, c’est une escroquerie caractérisée. J’ai un exemplaire de ce conseil de tutelle du 19 mars 1956, il n’est pas fait mention d’une autorisation de mariage.

3 ) Je prouve que ces créatures maléfiques, les Thénardier, ont exploité ma candeur d’enfant sans famille, qu’ils ont utilisé des drogues pour me soumettre, ces gens n’ont aucune retenue pour réaliser leur diabolique projet, j’ai une aversion viscérale contre ces criminels d’une audace folle, pour avoir la lâcheté d’utiliser des poisons.

Page n° 5

La prescription, ce vilain mot ne peut être employé dans ce cas de figure. J’étais sous soumission chimique depuis plus de trente ans. Une séquestration physique, intellectuelle et morale
À l’image de l’Autrichien qui avait séquestré sa fille pendant 20 ans pour la violer, cet homme a été condamné.

Les Thénardier ces répugnantes créatures m’ont détruit, ils méritent le bagne.
Le 21 décembre 2015, j’ai déposé un dossier à la Cour d’assises de Niort avec des documents qui prouvent que mon état civil, celui de ma mère a été falsifié, pas de réponses ? De quel droit la justice elle m’interdit de porter le nom de mon père ?

Dans ce malheur désordre, ceux que l’on soupçonne d’avoir contribué de loin ou de près à cette sinistre besogne peuvent avoir la certitude que cette scandaleuse opération ne sera pas gratuite.

Drogué par cette femme de mauvaise vie, qui a mis la maison de ma mère en vente, en juin ou juillet 1961, ma jeunesse assassinée, cette créature voulait effacer toute trace du patrimoine sentimental de ma familles, ces meubles de valeur, les objets de ma mère, mes nombreux souvenirs qui me rapprochaient de ma chère maman, tout a été vendu, l’argent est tombé dans l’escarcelle de cette salope.

Logiquement, je ne devais pas vendre ce bien de famille, durement économisé par ma défunte mère, j’ai trahi la mémoire de ma famille ; je n’en démordrai pas, les Thénardier me droguaient.

En juillet 1961, je demande à la dévote du paganisme en forme de bouc, je ne vois plus ton frère, j’obtiens une réponse confuse, il est parti dans les Ardennes, je pensais qu’il était en voyage pour le plaisir. En réalité, il était en voyage d’affaires, l’affreux avait été négocié les bénéfices de l’usine Cellatex de Givet.

Le premier septembre 1961, je suis incorporé au 1/9 RTM à Niort ; deux mois de classe sans permission, j’ai été démobilisé en octobre 1963.
Rue Lafontaine, pas de problème affectif, quand Messaline était en manque, elle demandait aux voisins de la satisfaire. J’ai élevé une famille de bâtards.
Encore une fois merci l’administration tutélaire, pour votre dévouement exemplaire pour la racaille. J’ai honte pour vous !

Déposition de la mécréante, au commissariat de Thouars par le commandant Gasseling , en date du 8 mars 2005. C’est un tissu de mensonges.

Extrait du PV.

Sur les faits : réponse : j’ai été l’épouse de Monsieur Goguy de 1962 à 1995.

C’est faux : c’est le 4 avril 1961, que j’ai hérité d’une vieille bécane d’occasion, de nombreuses personnes avaient du s’asseoir sur sa selle elle manquait de ressort, cadeaux offert par les sages protecteurs des enfants sans famille .Un héritage empoisonné.
Pièce jointe de l’acte de mariage, extrait du livret de famille

Suite : j’avais un fils d’une première union en concubinage.

C’est vrai, elle s’était fait engrosser par un homme marié de Niort, qui était représentant de commerce, cette dévergondée l’accompagnait dans tous ses déplacements, c’est l’école buissonnière, pour des parties de jambes en l’air,un divertissement pour cet homme, il prenait son pied avec cette pute, cette aventure lui a causé quelques ennuis, les Thénardier ne sont pas des gens sympas, il a du perdre sa place dans son entreprise ; dans cette affaire il n’y a pas concubinage. Il est resté avec sa femme pour son salut, il n’a pas fait comme moi, j’aurais du fuir ces créatures comme la peste.

Page 6

Tous mes enfants ont bien réussi dans la vie, mais ce n’est certes pas grâce à mon mari,  » cela n’est pas grâce à elle nom plus » qui ne me donnait que cinq mille francs, la réussite n’a rien à voir avec l’argent. Elle a oublié de dire que je remboursais l’emprunt de la maison, que je payais l’électricité, l’eau, les impôts, l’entretien de la maison de la voiture, les assurances, etc., je couvrais mes dépenses personnelles.

J’ai aidé ma mère, que j’ai prise à la maison rue de Pain Perdu à Vrines (avec mon agrément) je pense qu’elle devait lui piquer tous ses sous, de plus, ils avaient vendu la maison de la mère Clotilde rue Lafontaine, je n’en ai pas vu la couleur.

J’ai aussi été aidée par la suite par mon fils aîné, Éric (ce n’est pas, tout à fait vrai, l’aîné c’est son fils de débauche) qui a payé les études universitaires à Éric, cette créature est aussi malhonnête que sa mère, en réalité c’est l’argent de ma famille allemande qui couvrait les frais.

J’ai été très heureuse au début de mon mariage avec Jacques Goguy, qui avait eu une enfance malheureuse ( ces créatures ont bien exploité cette condition) elle mentionne que la situation s’était dégradée au bout de 2 ans

Les deux ans en question : J’étais militaire,elle ne risquait pas de se dégrader . Mon entrée à la SNCF date du 15 janvier 1963, j’ai été un an en cours de formation de conducteur de locomotive à vapeur, pendant cette période, je n’ai jamais vu un collège aviné, il en est de même pour moi ; cela aurait été très mal vu, n’étant pas commissionné, c’était la mise à la porte de la SNCF.

Question : que savez-vous de la filiation de M Goguy ?
Réponse : je ne sais pas et je ne l’ai jamais su. Mon mari m’a toujours dit qu’il n’avait pas de père.

Une réponse idiote, je serai né sans père? Cette créature connaissait mes origines, mon oncle lui avait dit, que mon père était allemand, elle me conditionnait pour occulter ma filiation, me maintenir sous son contrôle, la drogue m’a interdit de connaître ma grand-mère allemande Élisabeth Müller, une joie refusée, je pouvais avoir des photos de mon père, de ma famille ; cette histoire me brise le cœur, elle a détruit ce que j’avais de plus précieux au monde en me volant ma racine allemande. Ma grand-mère est décédée à Berlin le 3 févier 1971.
Aujourd’hui, j ‘ai une grande souffrance psychique atroce, en pensant au mal irréparable que ces monstres m’ont fait endurer.

Elle avoue que c’est ma cousine de Saint-Jouin qui lui aurait dit que mon père était allemand. Un mensonge de + j’ai deux cousines dans cette commune, c’est laquelle. En réalité, c’est quand j’ai pris pension chez ces vautours que mon oncle André Goguy a informé ces mécréants, que mon père était allemand,et riche, cela à du faire saliver cette sale vermine.

Elle mentionne que je ne communiquais pas, que je me mettais en colère, il faut dire que la drogue altère beaucoup de fonctions.

Question : que savez-vous de Suire. Elle dit qu’il n’est jamais venu à la maison.
On ne lui demandait pas, ce qui laisse supposer que, Suire a fait quelque déplacement à Vrines.
Dans les années 1999 et 2000 Suire et ses complices, des assassins ; ces bandits me droguaient à forte dose, je n’étais plus maître de mes actes, fait signalé dans mes plaintes du 26 juillet 1999 et 2 avril 2002.
De plus, Je ne me suis jamais baladé avec cette pouffiasse sur le marché de Thouars, je ne lui ai jamais dit, et par deux fois, c’est Suire que je détestais viscéralement. Donc elle le connaissait.

Question : que savez-vous de Guillot.
Elle ne connaît pas Guillot ?
C’est bizarre l’année 1999, Guillot se rendait journellement 25 rue du pain Perdu, pour une visite de courtoisie à l’horizontale, Guillot est impliqué dans la spoliation de l’héritage de mon père. Boutet m’avait dit qu’il couchait avec cette chienne, les pervers se rassemblent au lit. On me dépouille de tous mes biens et cela finit en partie de trou du cul. Après le pain perdu,c’est l’effondrement des principe incontournables de bonne conduite.

Page 7 a

Question : que savez-vous de Nicolai.

Elle ne le connaît pas, cela est possible, Nicolai était plus intéressé par mes sous, que par la vieille schabraque, de plus, Guillot était maître des lieux, membre titulaire infatigable.

Question : que savez-vous de Boutet .

la réponse est étonnante, elle dit que c’est un ancien employé de la SNCF ; Boutet n’a jamais été cheminot de sa vie, c’était un fort des halles de Paris.
Je n’ai jamais demandé à Boutet de me faire un faux témoignage, c’est contre mes principes.

Question : que savez-vous de cette histoire d’héritage. Tous mes enfants et moi-même, nous nous posons la question de savoir d’ou il tient cette histoire abracadabrante.

Une histoire comme celle-là ne s’invente pas, les faits sont réels, très graves. Je suis scandalisé du témoignage de cette traînée ; qui est plus qualifiée à batifoler, qu’à s’investir dans son rôle de femme au foyer ; son cerveau de malade devait être obsédé par ses désirs malsains, m’utiliser comme cobaye pour ses expériences, j’étais pris en otage par cette manipulation. la personne droguée ne peut briser les chaînes de sa captivité.

C’est toujours à des fins criminelles que l’on utilise ces produits illicites, cette dévergondée de mauvaise vie, a un culot monstre pour faire ce faux témoignage, elle ne risque pas de corrompre sa vertu, elle en est totalement démunie.

Sa progéniture a le même handicap ; une secrète prédilection à commettre l’interdit, ils sont tous solidaires dans cette escroquerie criminelle ; en particulier le résidu de débauche qui est en poste au Japon Éric Goguy, ce fils illégitime souille le nom de ma mère usurpe mon identité, pour devenir l’héritier de mon père.

Les actions assassines se jouent en cercle fermé ; je ne suis pas jaloux de ces escrocs ; ils ont la situation qu’ils méritent ; sauf dans ce cas de figure, il y a l’usurpation d’identité, prise illégale d’intérêt, détournement de fonds, ces créatures ont assassiné des familles, détruit des milliers d’emplois ; depuis 1999, plus de 900 entreprises ont fermé.

Cette sale crapule déclare : j’ai supporté sa violence quand il était saoul à la maison, j’ai été frappée plusieurs fois par lui, j’ai eu le nez cassé, des côtes cassées, je n’ai jamais porté plainte (c’est faux, elle avait déposé une plainte au commissariat, pour ne pas nuire à ses funestes projets de spoliation, elle a retiré sa déposition.)

C’est vrai, je l’ai boxé une fois, elle avait mal dosé ses produits qu’elle mélangeait avec du vin, l’effet est plus redoutable, de plus, elle avait créé une situation conflictuelle explosive, qui ne pouvait qu’engendrer la violence, et atteindre le point de rupture, de contrôle de la personne soumise, qui devient inconsciente de ses actes.

Elle avait été déposer plainte, la situation étant redevenue normale, les faits évidents, j’ai pris conscience du mal que j’avais fait, j’ai regretté cette action.
Je ne pensais pas que cela avait une corrélation avec la drogue.

Aujourd’hui, je pense que je n’ai pas été assez violent, j’aurais dû lui faire une paire de lunettes en peau de boudin, lui fausser son dentier, lui boursoufler la figure, afin qu’elle connaisse les dangers de ses produits, pour qu’elle éprouve la souffrance que j’ai dû faire subir à d’autres personnes, je pense à madame D -B et d’autres.

Page 8
La drogue, c’est une arme dangereuse incontrôlable, la personne droguée peut être suicidaire, dépressive, violente, n’étant plus maître de ses actes, elle peut commettre de graves délits, des crimes, elle ne se souvient de rien, les vrais coupables sont les assassins manipulateurs de ces produits, ces créatures ne méritent pas de vivre, elles volent l’air qu’elles respirent

Victimes de ces crapules : pour cette raison, je suis farouchement hostile à la vente de ces produits sans contrôle. La voyoucratie qui utilise ces produits à des fins illicites, sont des assassins et doivent être jugée comme telle.

Cette femme de petite vertu n’a aucune conscience, d’un niveau intellectuel défaillant, une gourde qui n’a aucune maîtrise de ses pulsions sexuelles, et de ses produits dangereux qu’elle manipule en toute inconscience, pour ses actions scandaleuses, criminelles, une femme de l’ombre, qui se cache derrière ses poisons.

Pour se protéger, elle me culpabilise, blasphème la mémoire de ma mère, qui était d’une droiture exemplaire, d’une honnêteté irréprochable. Cette créature est ignoble en cruauté.
Je suis coupable de ses mauvaises actions, d’une bassesse inhumaine, et d’une lâche trahison de conscience, son désir faire le mal, nuire à autrui, c’est le côté pervers de ce ramassis de débauche, une trainée de caniveaux qui nous fait la morale ?

La suite n’est pas mieux, je suis un malade mental, et j’ai inventé toute cette histoire ?

Elle ne va pas avouer ses brillants exploits crapuleux. Pour cette raison, elle me jette des pierres, je suis un alcoolique qui buvait ses produits, c’est ma faute ; je regrette d’avoir bu ses boissons enivrantes, euphoriques, ce n’est pas l’alcool qui a détruit ma santé, ma vie, ma jeunesse, pour cette raison, je n’ai aucun traitement lié à ce problème.
Je suis un malade mental, c’est vrai sa merde modifiait mon comportement. Dans une affaire scandaleuse c’est la victime le malade mental, cela dédouane les vrais coupables. En réalité une personne saine d’esprit n’aurait pas dilapidé sa fortune ; épouser la Vénus de carrefour, sans avoir été conditionnée.
Quand on veut tuer son chien, on dit qu’il a la rage

Je pense réellement que cette personne a un dysfonctionnement neurologique, pour mentir aussi effrontément, pour s’engager dans une affaire si sordide, aussi monstrueuse, aussi dégoûtante, je n’ai pas de mots assez forts pour qualifier cette créature maléfique.

La drogue détruit les bonnes pensées, et ravage la vertu.

Je prouve que les Thénardier sont des malades mentaux incurables, des créatures sadiques, qui me manipulaient à leur guise.

Les Thénardier, d’obscurs intrigants.

Les pratiques répugnantes de la marchande de plaisir ; elle a marié ma fille Valérie, dans le secret.
Sans m’informer de ce mariage. Pour cette raison, je n’étais pas à la noce.
Cette histoire n’est pas naturelle. Il y a l’emprunte de la drogue.
Cette bonne femme m’a fait, les pires saletés, qu’aucun être doué de raison n’aurait osé faire.
Les Thénardier ont l’habitude de programmer les mariages à leur guise. j’en ai fait la douloureuse expérience.
Le mariage de ma fille a été préparé par le clan vaticinateur du diable.
C’est mon collègue de la SNCF, Bernard Monrouzeau, conseiller municipal, il avait marié ma fille, surpris de ne pas me voire à la noce, me parle de cet événement en gare de Thouars.
Ma présence devait être indésirable, j’aimerais en connaître la raison ; c’est la preuve, qu’il se passe des choses pas très catholiques chez les Thénardier.
C’est une nouvelle histoire de produits pharmaceutiques, qui en est responsable, une préparation savante de Simonne Brunet, destinée à mes neurones, je devais être dans ma sphère embrumée, dans un vide transcendantal, ces créatures diaboliques maîtrisaient les produits sous sa forme, mais pas sur le fond.

Page 9
C’est la préméditation de leurs actions qui est malsaine. C’est cacher la réalité des faits par des produits, des gens normaux exposent leurs sentiments, leurs désirs, la raison de leurs actions.
On voit la fausseté de ces créatures qui agissent dans l’ombre.
Cette cérémonie avait été décidée en huis clos avec son frère le traîne-savates, l’allergique au travail, le pilier d’estaminet et la dragonne, la ribaude aux mille ressources diaboliques, ces créatures des ténèbres ont voué leurs âmes à des dieux infernaux, les Thénardier ont franchi le Rubicon « Alea jacta est, le sort en est jeté », ces créatures n’ont pas choisi la voie de la sagesse, mais celle de la débauche, du crime ; pour le Divin courroux une destruction éternelle.
Une preuve supplémentaire que ces créatures me manipulaient à leur guise
Heureusement que j’étais sous protection tutélaire, j’ai vraiment honte pour ces gens, qui m’ont jeté en pâture chez ces mécréants. Même le nom de Thénardier perd de sa puissance chez ces ordures.
La suite sera de plus en plus croustillante
J’ai un dossier en béton cellulaire pour la racaille impliquée dans ce dossier.

Une preuve supplémentaire du conditionnement régulier dont j’étais l’objet, la pimbêche droguait ma boisson.

Les histoires de drogue sont toujours dramatiques.
Il n’y a pas plus cruelle tyrannie que celle que l’on exerce à l’ombre des lois.

Cette affaire se passe à la SNCF dans les années 69-70.
J’étais en roulement à la traction vapeur, on était titulaire d’une locomotive la 141 R 460.
Mon mécanicien était Hubert Julienne, j’étais son chauffeur.
Affecté au dépôt traction Thouars
À cette époque au dépôt, le nombre de mécaniciens et de chauffeurs de route dépassait la centaine.
Les effectifs des agents de conduite en septembre 1989 étaient de 69 conduteurs.
Les lignes empruntées par notre dépôt étaient THouars, les Sables d’Olonne
Thouars, Niort – Thouars, Saint-Pierre-des-Corps Thouars la Châtaigneraie- Thouars, Angers
Il y avait des tournées sur deux jours, on apportait notre panier pour plusieurs repas.
Ce panier était placé dans un coffre à l’arrière du tender de la loco.
L’histoire qui suit est vraie, le retour d’un train de détail.
Départ de la Roche-sur-Yon, on s’arrêtait dans toutes les gares, pour prendre des wagons où en laisser, c’était une journée d’été, particulièrement chaude, plus la chaleur dans l’habitacle de la locomotive.
Cette affaire se passe à Pouzauges, on s’arrête en gare et comme il faisait très chaud, je descends de la locomotive, pour prendre dans mon panier ma bouteille de vin, je bois et mon collègue Julienne me demande à boire, je lui donne ma bouteille, il boit quelques gorgées, on remonte sur la locomotive, les agents de la gare nous demandent de manœuvrer pour prendre des wagons, on commence la manœuvre, en obéissant aux signaux manuel s des agents de l’exploitation.
Changement de comportement de mon collègue qui me dit, ils nous emmerdent avec leur manœuvre, on fiche le camp, et c’est parti sur la voie principale, direction Bressuire, je voyais bien les types de la manœuvre gesticuler, le chef de gare qui dit d’appeler d’urgence la gare de Saint- Mesmin, on avait franchi le sémaphore qui était fermé et ça roule direction Bressuire. Moi-même, je n’étais pas dans mon état normal, je devais arrêter le train.
Quand on passe devant la gare de Saint-Mesmin, un train était garé, tout le monde levait les bras au ciel, j’étais sur la partie gauche de la loco à mon poste de travail, Julienne m’appelle pour me dire, ils nous disent bonjour, effectivement c’était un bonjour vigoureux, d’une grande intensité ; le résultat nous attendait en gare de Bressuire, le commité d’accueil était en place, le chef de gare et l’agent de circulation, nous informe que le train qui descendait à Pouzauges avait été garé en catastrophe en gare de Saint-Mesmin.

Page 10

Le chef de gare, l’agent de circulation, étaient très remontés contre mon collègue, ils l’informent qu’il a franchi le signal fermé de la gare de Pouzauges, qu’il est parti sans l’autorisation de départ.
Un choc anaphylactique lui tombait sur la tête ; ces faits sont d’une gravité extrême pour un mécanicien.
C’est la descente à vie de la conduite des locomotives.
Moi-même, je n’étais pas trop dans mon assiette, Julienne conteste sous l’effet de ma boisson qui contenait de la drogue.
Le chef de gare lui dit  » viens voir le dernier wagon, il n’y a pas de signaux de queue, et des wagons ont été laissés en gare de Pouzauges  » Julienne commence à réaliser qu’il s’est passé quelque chose d’anormal.
Et prends conscience de la gravité de l’événement, une catastrophe a été évitée, grace à l’intervention rapide du chef de gare de Pouzauges. Merci mon ami, à cette époque, j’étais un témoin inconscient, qui revit cet événement comme si c’était hier, je peux écrire cette page grace à la promptitude de ton intervention.
Ce qu’elle mettait dans ma boisson devait être explosif, pour cette raison, l’effet sur mon collègue est immédiat.
De moindre intensité en ce qui me concerne, j’avais ma dose journalière qui perturbait mes fonctions neurologiques.
Pour mon collègue une histoire aussi grave pose question, l’effet étant en partie dissipé par les faits réels, c’est une bombe qui lui tombe dessus.
Qui a pu modifier son comportement neutraliser son bons cense. Par déduction, ce ne pouvait être que ma boisson.
Tonton Jules, c’était un véritable ami, sur la loco un travail d’équipe, dans nos déplacements, c’était la vie de famille, les cheminots sont très soudés.
Me demande si je me drogue : je lui dis d’un ton affirmatif non, sa demande m’avait vexé.
Tonton avait vu juste, il n’a pas voulu me culpabiliser, cette affaire, je l’avais également oublié.
j’étais loin de penser que cette salope me droguait.

Une personne droguée est imprévisible, à cette époque on n’avait pas les outils pour faire des analyses de produits toxiques, c’est dommage : on aurait prouvé que les Thénardier sont des assassins.
Avec du recul, j’imagine le drame, les deux trains qui se rencontrent face à face, à pleine vitesse, sur une voie unique, les dégâts ; les machines auraient explosé, quatre morts, deux sur chaque loco.
Trois familles en deuil, une qui se réjouit de ma disparition, étant marié sous le régime de la communauté, les Thénardier étaient les plus riches de France.
L’enquête de la SNCF, une faute de conduite, un mécanicien n’a pas respecté la signalisation, il est parti sans signal de départ, ce n’est pas tout à fait la réalité, la vérité se cache dans une bouteille de vin.
Les Thénardier sont des terroristes en puissance. Des criminels qui agissent à l’ombre de leurs sales besognes.
Je ne pouvais tomber plus mal, même, chez les pires crapules, les bandits de grand chemin, ce sont des enfants de chœur, à côté de ces monstres.
Les enfants sans famille ont de la chance d’être protégés par le conseil de tutelle, les miens devaient être des vieillards qui étaient sourds et aveugles, ou bien ils étaient éblouis par la sauteuse.
Il y a un trafic d’influence quelque part, pour m’avoir fourgué ce rebut de débauche.

Je pense que l’extrait du conseil de tutelle du 19 mars 1956 est un faux, pour les raisons suivantes : Saint-Jouin de Marnes fait parti du canton d’Airvault. De la juridiction de Parthenay, je suis rattaché au conseil de tutelle de Parthenay.
Ce document est vide aucun rapport, j’étais en apprentissage de peintre quand ma mère est décédée, j’avais un an d’apprentissage, et donnais entière satisfaction à mon patron, mon oncle me retire d’apprentissage,pour me mettre au cul des vaches chez son beau frère Paquereau, j’étais sous la protection du docteur Bourret qui était un ami de ma famille, c’est l’assistante sociale qui m’a retiré de cette fonction, j’ai repris mon métier de peintre.
L’autorisation de mariage n’est pas verbale, elle fait l’objet d’un conseil, d’une enquête de bonnes mœurs, aucune trace de ces documents, je les réclame au tribunal, cela prouve que je suis victime d’un mariage arrangé, non conforme à la loi, c’est un déni de justice, une violation de mes droits, ce mariage est nul.
Page 11
Mon premier examen de MECRU, je l’ai raté pour une bêtise, toujours par la faute de la drogue, mon cerveau ne fonctionnait pas normalement, les Thénardier sont responsables de cette anomalie.
À la SNCF, nous sommes informés des incidents qui ont lieu dans l’entreprise, cela permet aux agents de ne pas renouveler la même erreur ; dans le dessein d’améliorer le service.
L’incident.
Une équipe tractions, c’est arrêté en pleine voie, la soute à eau du tender était vide, normalement cela fait l’objet d’une demande de secours, la voie devait longer une route, l’équipe a arrêté le train à côté d’un téléphone de service, l’équipe a appelé la gare qui était la plus près de l’incident, pour faire déplacer les pompiers, qui ont fait le plein du tender, le train est reparti, sans perte de temps importante.

L’examen de MECRU est en trois parties, l’écrit, l’oral et le train d’essai.

À l’examen écrit, c’est le parcours d’un train qui a de nombreux incidents ; à traiter par des réponses réglementaires. Ce rapport doit être établi dans un temps limité.
Une des questions : un train s’arrête en pleine voie par manque d’eau dans le tender.
Ma réponse est toute trouvée, j’appelle les pompiers, une ânerie qui m’a coûté mon examen.
La logique, je devais faire une demande de secours soit par l’avant ou par l’arrière, ce qui ne me causait aucune difficulté, à un examen, on n’appelle pas les pompiers, ce n’est pas le but de la manœuvre.
j’ai perdu mon examen pour cette sottise. Ce qui prouve que mes neurones ne fonctionnaient pas normalement.
Je peux en vouloir à cette Vénus de carrefour.
L’examen, je l’ai obtenu plus tard.

Une autre histoire de fou.

L’année 1966 elle était enceinte de Franck, la SNCF allouait aux femmes des primes de grossesse, pour bénéficier de cette allocation, le médecin devait remplir un certificat.

Elle me donne ce document, pour le remettre au bureau administratif du dépôt.
Devautour, employé de bureau me convoque ; pour me dire, que je lui avais remis un document falsifié, surpris, me montre le document qui avait une signature grossière ; ce ne pouvait être celle du médecin.
Pour trafiquer un document officiel, il n’y a que les Thénardier pour commettre des actes si ignobles.
Cela m’a coûté un blâme et la moitié de ma prime de fin d’année.
Je ne fonctionnais donc pas normalement, cette falsification aurait dû me sauter aux yeux.

Je prends la responsabilité de mes écrits : voir sur Internet eric goguy — suire ancien contrôleur général de la police — jacques goguy — renault bijoutier a sablé — juge oliver abram – madame goguy ,etc.