Mafia et différences
Au cours de l’année 2006, dans une prison de Catane, un jeune détenu affilié à une cosca, (Des statistiques à la réalité de la lutte antimafia ) affirme qu’ils existent des mafieux homosexuels même si ceux-ci doivent se cacher!
Au sein des organisations mafieuses, ceux qui sont soupçonnés d’être gays vivent dans la terreur. Rappelons le cas de Johnny D’Amato (en photo), un « captain », c’est-à-dire un chef de groupe d’une dizaine de mafieux, au sein de la famille De Calvacante du New Jersey aux Etats-unis. Son parcours a été porté à l’écran dans la série les Soprano. Jonnhy d’Amato a été assassiné en janvier 1992 par ces compères qui le croyaient gay. En réalité, on ne sait pas si Jonnhy D’amato était « homo » ou pas. Son problème est qu’il venait de remplacer le chef de sa « famille » mafieuse incarcéré. Jonnhy d’Amato était un « acting boss », qui devait peut-être sa promotion au fait qu’il était lié à la très puissante famille Gambino de New York. Le fait qu’il soit « homo » ou présumé comme tel n’était peut-être qu’un prétexte pour qu’on l’assassine. En effet, les rapports entre les 5 familles de New York et celle du New jersey ont toujours été faites d’alliances et de trahisons.
Conclusion : la mafia c’est la tyrannie de la famille (Arrestation de la « mamma ») et des valeurs. Celui qui bouge le petit doigt (au mieux…) est assassiné surtout si les intérêts du clan sont menacés.
Au sein des organisations mafieuses, ceux qui sont soupçonnés d’être gays vivent dans la terreur. Rappelons le cas de Johnny D’Amato (en photo), un « captain », c’est-à-dire un chef de groupe d’une dizaine de mafieux, au sein de la famille De Calvacante du New Jersey aux Etats-unis. Son parcours a été porté à l’écran dans la série les Soprano. Jonnhy d’Amato a été assassiné en janvier 1992 par ces compères qui le croyaient gay. En réalité, on ne sait pas si Jonnhy D’amato était « homo » ou pas. Son problème est qu’il venait de remplacer le chef de sa « famille » mafieuse incarcéré. Jonnhy d’Amato était un « acting boss », qui devait peut-être sa promotion au fait qu’il était lié à la très puissante famille Gambino de New York. Le fait qu’il soit « homo » ou présumé comme tel n’était peut-être qu’un prétexte pour qu’on l’assassine. En effet, les rapports entre les 5 familles de New York et celle du New jersey ont toujours été faites d’alliances et de trahisons.
Conclusion : la mafia c’est la tyrannie de la famille (Arrestation de la « mamma ») et des valeurs. Celui qui bouge le petit doigt (au mieux…) est assassiné surtout si les intérêts du clan sont menacés.
En 2008, un détenu membre d’une famille mafieuse sicilienne, écrit une poésie. Les autres détenus le cataloguent alors comme une « tapette », un « pédé ». En effet, d’après les règles de Cosa nostra, la mafia sicilienne, un « soldat » de l’organisation mafieuse ne peut être homosexuel. La punition carcérale tombe : huit « hommes d’honneur » (ainsi se nomment les mafieux siciliens) sodomisent le jeune homme. Ces pratiques sont courantes. Pourtant, l’avocat du jeune homme a décidé d’en référer aux autorités. A ce jour, les huit mafieux n’ont pas été sanctionnés par l’administration pénitentiaire. Ces cas ne sont pas des cas isolés. L’avocat de la victime a rendu l’agression publique le 3 août 2008.
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