Mafias.fr sur M6
Choc après les funérailles d’un « parrain » mafieux à Rome
« J’ai conquis Rome, je vais désormais conquérir le paradis. » La citation s’inscrit en lettres sombres, devant un décor kitsch montrant dans le couchant le pont Saint-Ange, le Colisée et la basilique Saint-Pierre, et, incrusté dans le coin droit, un portrait du chef du clan mafieux des Casamonica, Vittorio Casamonica. Le photomontage, imprimé sur une bannière de quelque trois mètres de large, ornait l’entrée de l’église San Giovanni Bosco où ont eu lieu, jeudi 20 août, les funérailles du parrain d’origine sinti, mort d’un cancer à l’âge de 65 ans. Lire la suite
L’intervention de Fabrice Rizzoli sur M6 :
Mafias.fr en Suisse pour le 21 mars jour des victimes de la mafia
A l’occasion de la « Giornata della memoria per le vittime innocenti delle mafie » du 21 mars en Italie, Libera en Suisse organisa les rencontres suivantes avec Fabrice Rizzoli président de Crim’HALT et auteur de « La mafia de A à Z » et Monica Usai de Libera Europe, et en collaboration avec la Federazione delle Colonie Libere Italiane :
Vendredi 11 mars :
- 13.30 à 15.00: rencontre avec les étudiants d’un gymnase de Lausanne qui étudient l’italien (photo plus bas)
- À partir de 19.00: rencontre avec la communauté italienne au siège de la Colonia Libera Italiana de Renens.
Samedi 12 mars:
- À partir de 10.00: Dégustation de quelques produits « Mafia Free » au Magasin du Monde de La Chaux-de-Fonds (photo plus bas)
- À partir de 19.00: rencontre avec la communauté italienne à Dübendorf au siège de la Colonia Libera Italiana de Dübendorf.
Les thèmes seront les suivants:
- Infiltration mafieuse en Suisse et en France
- Association Libera
Mafias.fr sur Atlantico
Pourquoi nos politiques de lutte contre le trafic de migrants passent (encore une fois) à côté du problème
La contrebande de migrants a explosé depuis la fin de l’ordre bipolaire. En dehors de certaines politiques mises en oeuvre en Italie, les solutions répressives élaborées pour lutter contre le trafic d’êtres humains n’ont pas prouvé leur efficacité. L’affaiblissement et l’éradication de ce trafic passera, entre autres, par l’arrêt de la criminalisation des migrations et la fin de la prohibition des drogues.
Menace contre un club de foot féminin
Une équipe de foot féminin est menacée par la ‘Ndrangheta en Calabre parce que le sport est devenu un terrain de jeu pour le recyclage de l’argent sale mais aussi parce qu’il ne faut pas déconner avec certaines « valeurs » 🙂
Cf. Journée de la femme 2012 : le courage de témoigner
Tout dans « La mafia de A à Z », p. 72 « femmes et mafia »
La mafia de A à Z
162 définitions
De A comme « Accumulation du capital » à Z comme « Zoomafia »
Un nouveau livre avec Tim Buctu éditions
Pour se le procurer :
– Dans vos librairies à commander
– Avec dédicaces : chèque de 18 euros (frais de port inclus) : écrire un mail pour avoir l’adresse
Cliquez : adresse mail
Mafias.fr à Bruxelles : « Il faut affecter les biens confisqués à un usage social ou culturel »
L’association « Culture contre la Camorra », contre la mafia napolitaine, organisait les manifestations autour de la semaine de la lutte contre le crime organisé à Bruxelles (cf. programme). Au sein du Comité économique et social européen, l’association antimafia italienne frappe fort en invitant de grands spécialistes comme Gherardo Colombo, magistrat de la célèbre enquête « Mains propres » en Italie qui voit un tiers de la classe parlementaire mis en examen entre 1993 et 1995. Il faut dire qu’en Italie, les procureurs sont indépendants (nomination par le CSM, obligation de l’action pénale et séparation entre le magistrat qui enquête et celui qui décide d’un procès), tout l’inverse de la France avec un procureur, nommé par l’exécutif, qui peut décider seul de ne pas poursuivre sans avoir à se justifier (cf. « Des armes à l’italienne contre le crime organisé et plus si affinités »)
Mafias.fr représenté par Fabrice Rizzoli spécialiste du crime organisé (cf. Séminaire Sciences-Po Paris) et président de l’association Crim’HALT, fit 4 allocutions en 2 jours.
Federal Credit Unions in the District of USA.
Mafias.fr a défendu La redistribution, à des fins socio-culturelles, des biens confisqués (cf. article référence). L’usage socio-culturel des biens mal acquis est l’unique moyen d’impliquer réellement les populations face à une prérogative régalienne. Seuls les magistrats et les policiers peuvent mettre les criminels en prison, privant de facto le citoyen d’un rôle pro-actif contre la grande criminalité. Conférences et autres manifestions sont utiles mais elles ne constituent pas une intégration de l’individu dans l’action contre les criminels professionnels. En revanche, si une association se voit confier l’appartement de l’ancien Ministre de l’Intérieur pour gérer la maison des lanceurs d’alerte, alors les citoyens deviennent pro-actifs contre les corrompus de tous bords.
Mafias.fr a cité Anticor, seule association à avoir compris le message envoyé par la commission européenne CRIM contre le crime organisé, la corruption et le blanchiment en ingérant dans son plaidoyer (article 19) l’usage social des biens confisqués.
Et il a présenté l’association Crim’HALT, jeune association pour l’usage social des biens confisqués.
Fabrice Rizzoli a présenté la situation du maire de Linguizetta, signataire de la charte éthique Anticor pour les élections municipales de 2014. Maire depuis 2008 et fervent protecteur du PLU d’une commune littorale touristique qui suscite les appétits du crime organisé, le Maire de Linguizetta subit menaces, pressions et mise à l’écart (cf. Le Monde). L’isolement le plus pernicieux est celui provoqué par les institutions… le contrôle de légalité des préfets étant très erratique sur le moyen terme. (cf. Tribune de Vincent Carlotti et Fabrice Rizzoli Le Monde).
Pour conclure :
Lutter contre le crime organisé, c’est lutter contre toutes les criminalités complexes
Lutter contre les criminalités complexes, c’est lutter contre le crime organisé
Pour changer les lois, il faut changer les mentalités et, pour changer les mentalités, seule la redistribution à des fins sociales permet ce travail de moyen terme. Depuis l’instauration de coopératives agricoles antimafias en Sicile dans les années en 2000, il existe dans le berceau de la mafia un modèle de développement fondé sur la légalité démocratique. En 2012, des jeunes demandent un contrat de travail pour être embauchés dans l’agriculture! (cf. écoute téléphonique d’une mafieux qui se plaint d’une telle demande sur ces terres). En France, pays où la mafia n’existe pas… l’AGRASC saisit les biens du crime organisé mais aussi des corrompus et des évadés fiscaux :
Le terrain agricole d’un gangster corse doit devenir une coopérative d’huile d’olive (cf. France3 Corse)
La maison, en Corse, de l’ancien Ministre des Finances doit devenir une école hôtelière pour que les jeunes apprennent un métier
La maison des Balkany à Giverny devait devenir une école de la seconde chance
L’appartement de l’ancien Ministre de l’Intérieur aurait dû devenir le siège de l’association Anticor
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La mafia de A à Z : le livre « vendetta »
18 mois après la sortie du Petit dictionnaire, il n’y avait déjà plus d’exemplaires… encore plus énervé -:)
Voilà la vendetta de mafias.fr, une revanche non violente 🙂
La mafia de A à Z
162 définitions
De A comme « Accumulation du capital » à Z comme « Zoomafia »
Un nouveau livre avec Tim Buctu éditions
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– Paris : la Librairia 89 rue du Faubourg Poissonière 75009 Paris
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– Sur Paypal en cliquant sur le lien suivant :
Mafias.fr à Montreuil : Retour sur le 1er salon des livres du lancement de l’alerte d’alerte
Le lendemain des attentats, dans un climat lourd et triste, les organisateurs du 1er salon du livre des lanceurs d’alerte « Des livres et l’alerte », dont Fabrice Rizzoli au nom de Crim’HALT, ont assuré la journée du 14 novembre 2015 afin notamment d’accueillir tous les invités qui s’étaient déplacés de province et de l’étranger, par exemple Erri De Luca.
La journée du 15 novembre a, quant à elle, été annulée.
Voici la lettre de remerciement des organisateurs :
« Il nous aura fallu plus d’une semaine pour émerger partiellement et réussir à vous écrire.
Avant toute chose nous nous inclinons devant les victimes de cette folie meurtrière en espérant que peu d’entre nous se trouvent touchés par la disparition ou les blessures d’un proche.
Après l’inqualifiable tuerie du 13 novembre et le drame pour des familles entières, pour des enfants, des parents et amis, l’annulation partielle du salon « Des Livres et l’Alerte » paraît bien peu de choses. Rien ne justifie et ne justifiera, où que ce soit sur cette planète, qu’un être humain décide de tuer aveuglément ou pas. Nous ne pouvons que mesurer l’ampleur des drames et des guerres avec leurs cortèges de morts. On peut toutefois s’interroger sur la profusion d’armes toujours plus meurtrières et sur les responsabilités.
Dans ce moment difficile pour tous, où nous sommes abasourdis, nous ne pouvions pas ne pas écrire un message relatant ce que vous avez permis par votre engagement. C’est peut-être aussi un message d’espoir, car il montre que nous pouvons faire, ensemble, de belles choses et organiser, ensemble, de
belles rencontres.
C’est au mois de mars 2015 que cette aventure a débuté. Nous avons évoqué au téléphone l’idée d’un salon du livre autour du lancement de l’alerte. Immédiatement, Gilles Bruey a recherché les livres qui pouvaient traiter de l’alerte et dans la foulée, l’idée du salon prenait corps. […]
Très rapidement, le 15 avril, nous avons contacté celles et ceux qui pouvaient établir les contacts rapidement en toute confiance, Fabrice Rizzoli d’Anticor, qui avec l’association a instantanément répondu présent, Michèle Rivasi également. Dans le même temps, nous testions l’idée auprès d’amis et de journalistes. […]
Nous avons assumé d’accueillir ceux qui se sont présentés. La tension est grande, l’émotion sur tous les visages. Le programme est bouleversé, nous tiendrons trois tables rondes sur les quatre prévues le samedi.
Florence Hartmann demande une minute de silence pesante, tendue. Vous nous adressez des messages d’encouragement, nous nous tenons chaud, mais la gravité de la situation est présente dans tous les esprits. La sécurité est assurée à l’entrée, mais une voiture est retrouvée à proximité.
Marion Larat sera distinguée pour son livre d’alerte « La pilule est amère », son rôle éminent dans le lancement de l’alerte et la révélation des risques de la pilule de 3e génération dont elle a été victime. Une émotion et un vrai message de reconnaissance de Michel Badré, venu rendre compte des échanges du jury qui n’a pu se réunir comme prévu. Émotion de Marion Larat, intervention pleine de sincérité et de courage.
Nous n’avions pas envisagé un tel épilogue pour ce salon plein d’espoir. Vous connaissez la suite, nous avons décidé de ne pas ouvrir le salon le dimanche. […]
Nous espérons simplement avoir été à la hauteur de vos espoirs au cours de ces huit mois de préparation. Comme chacun, nous sommes impuissants face à l’horreur et la folie. Nous nous inclinons devant les morts et les blessés, devant leurs familles et leurs amis.
Nous vous remercions pour votre engagement qui nous a permis de croire que ce salon aurait pu se tenir et être un succès. »
À voir :
– Vidéo de la table ronde n° 1
– Vidéo de la table ronde n° 2
– Vidéo de la table ronde n° 3
Mafias.fr sur C dans l’air
Rome capitale de la mafia?
Itv RCFM Corse
Le 9 octobre 2015, au lendemain de l’audition de Mafias.fr devant par la Commission Violence de l’Assemblée territoriale, Marion Galland de RCFM radio invitait Fabrice Rizzoli, spécialiste des mafias et du crime organisé. Fabrice Rizzoli est l’auteur du livre « La mafia de A à Z » et a reçu le Prix Falcone des Droits de l’Homme en 22014. Il a fondé l’association Crim’HALT pour obtenir une loi dd’usage social des biens confisqués. 9 minutes pour un bilan de la situation en Corse et en France :
Mafias.fr auditionné par la Commission Violence en Corse
Le 8 octobre 2015, la Commission Violence de l’Assemblée territoriale invitait Fabrice Rizzoli, spécialiste des mafias et du crime organisé. Fabrice Rizzoli est l’auteur du livre « La mafia de A à Z » et a reçu le Prix Falcone des Droits de l’Homme en 2014. Il a fondé l’association Crim’HALT pour obtenir une loi d’usage social des biens confisqués. Il est aussi le permanent d’Anticor. La Collectivité Territoriale corse est la « Région » en Corse. Elle se compose d’un exécutif avec son président, Paul Giacobbi (lien corruption), et d’une Assemblée avec un autre président Dominique Bucchini. Ce dernier a mis en place une commission de lutte contre la violence (Cf. janvier 2015). Pour cette dernière réunion de la mandature, il n’était plus question de violences faites aux femmes ou de violences à l’école mais de violences « économiques », celle des criminels professionnels (cf. Corse : mafia or not mafia? That is the question! ).
Mais, à part Etienne Bastelica (communiste et citoyen du Front de Gauche) et Dominique Bucchini, aucun élu n’est venu entendre les témoignages et les pistes proposées alors qu’ils étaient nombreux lors des autres sessions (cf. Corse matin, les élus sèchent…)
Les témoignages : Mme Bianconi (association anti-racket) puis de Gigi et Jean-Jacques Ceccaldi, un couple d’entrepreneurs rackettés qui ont porté plainte mais dont le procès s’est soldé par une relaxe, furent émouvants (cf. FLARE France). Que de solitude face à une menace aussi forte ! Que le prix est élevé pour avoir fait valoir ses droits de citoyens! Les médias aussi avaient fait le déplacement. Soit comme speakers avec Thomas Brunelli, journaliste en Corse, et Salvatore Cusimano de la RAI-Sicile qui a envoyé une vidéo. Soit comme témoins avec la présence toute la journée de Corse matin et de Radio RCFM (itv du 9 octobre)
A la demande de la Commission, Fabrice Rizzoli a présenté une géopolitique critique des criminalités (cf. Séminaire Sciences Po Paris) : « Il n’y a pas d’un côté une économie légale et de l’autre une économie illégale, mais une seule économie dont les composantes sont enchevêtrées et solidaires » cf. Atlas de mafias, ed Autrement, 2014, p. 19. La Corse, la France ou l’Europe sont au cœur d’un système politico-économique mondial qui produit de la criminalité. Ce sont les fabricants de cigarettes qui se débarrassent de leur stock de cigarettes auprès des trafiquants et non pas ces derniers qui impulsent la contrebande de tabac dans le monde. C’est la « mondialisation » qui fabrique toujours plus de déchets ; une croissance associée à une production de normes qui accouche de facto des réseaux parallèles d’écoulement de ces déchets. Les criminels ne sont pas des déviants, hors de la société. Ils sont dans la société. Ils sont le monde d’aujourd’hui (travaux Jean de Maillard, brillant magistrat français). Par rapport à d’autres régions, la violence des professionnels du crime est sans aucun doute exacerbée en Corse.
Mais Il n’existe aucun présupposé culturel en Corse comme ailleurs qui expliquerait une violence de ce type. La Corse est le monde et des solutions existent. Il appartient à l’État et aux élites de les proposer aux citoyens. Il n’est pas acceptable que l’État en appelle à la responsabilité individuelle sans prendre sa part. On ne peut pas demander à un élu de témoigner contre des gangsters si le Préfet n’assure pas le contrôle de légalité. L’État ne peut pas demander à des citoyens de lutter contre la corruption alors que le Ministre de la Justice nomme le procureur ! On ne peut pas demander aux commerçants rackettés de témoigner si on ne met en place un système de protection des témoins (cf.Le décret sur les « coopérateurs de justice » enfin signé?). On ne peut pas demander d’impliquer la société civile sans lui attribuer des biens confisqués…
Sur la violence comme sur l’économie criminelle mondialisée, Fabrice Rizzoli est revenu sur les solutions culturelles visant à impliquer la société civile, seule manière de renverser le rapport de force aujourd’hui en faveur des corrompus de tous bords. Il propose des projets pédagogiques dans les écoles (cf. « Entre les Lignes« ), revenant sur les expériences de lutte contre le racket en Italie (Addio pizzo)…. Citant le travail de l’association Anticor et de son référent en Corse Vincent Carlotti (cf. tribune du Monde), Fabrice Rizzoli a aussi évoqué la situation du maire de Linguizetta menacé parce qu’il fait son travail de Maire en respectant le PLU, une mission peu soutenue par les préfets qui se succèdent (cf. Le Monde).
Présentant le modèle italien de lutte contre la grande criminalité qui a fait baisser la violence de façon considérable par exemple en Sicile (5 meurtres mafieux par an pour 5 millions d’habitants), Fabrice Rizzoli a insisté sur l’usage social des biens confisqués comme mesure phare contre la violence. Il note qu’après 5 ans de lobbying en France, seule l’association Anticor à intégré dans son plaidoyer (art 19.) l’usage social des biens confisqués. Anticor est une véritable association, « du bas vers le haut », qui refuse les subventions pour préserver son indépendance. Il n’est donc pas étonnant que seule à ce jour, elle a compris l’intérêt d’une telle mesure pour lutter contre la corruption.
En fin d’audience, Fabrice Rizzoli a offert des produits fait par des coopératives sur des terres confisquées à la mafia. Depuis une loi de 1995, l’État peut mettre à disposition des citoyens des biens confisqués aux mafieux (cf. Article réference). La première coopérative en Sicile date des années 2000. En 2012, des jeunes dans l’arrière-pays de Palerme demandent un contrat de travail pour être embauchés dans un domaine agricole! (cf. écoute téléphonique d’une mafieux qui se plaint d’une telle demande sur ces terres) 🙂
Vous avez compris? Le cercle vertueux qu’amorce l’usage social des biens confisqués? Il change les mentalités !
Le couple de citoyens victimes de racket est reparti avec un paquet de pâtes complète bio dont les céréales sont faites à Corleone, fief de la mafia et de l’Antimafia (cf. « La mafia de A à Z, 162 définitions De A comme « Accumulation du capital » à Z comme « Zoomafia » – Tim Buctu éditions – 2015)
Le président de la Commission, Dominique Bucchini, est reparti avec un pot de confiture de citrons produits par une coopérative dans l’arrière-pays de Palerme. Le terrain appartenait à un chef de la mafia qui a fait assassiner le juge Giovanni Falcone. Aujourd’hui, des jeunes gagnent leur vie honnêtement sur ce terrain.