Impastato, paradigme antimafia, à Paris mardi 21 mai chez Ethicando. Peppino animateur d’une radio libre se serait enflammé pour le cinéma itinérant antimafia
Mardi 21 mai 20h40
6 rue de la Grange aux Belles 75010 Paris
Métro Jacques Bonsergent
Soirée en français 🙂
Peppino Impastato est mort il y a 35 ans pour s’être opposé à la mafia avec l’arme de la parole et de l’action sociale. Nous commémorerons sa mémoire avec son frère Giovanni, Maria Chia Prodi de Libera France
Un appel est aussi lancé pour que la maison dans laquelle il fut assassiné devient un lieu de mémoire, cliquez sur 20h : Apéritif anti-impunité avec le vin Cento passi de la coopérative Placido Rizzotto
21h : projection de « Munnizza », un court métrage de 18 minutes en italien sous-titré en français
21h 30 : débat avec Giovanni Impastato entouré de Maria Chiara Prodi de Libera France et Fabrice Rizzoli auteur du Petit dictionnaire énervé de la mafia
Peppino Impastato, animateur de radio libre aurait dit :
« financez la venue du cinéma antimafia en France »
avant le 21 mai 2013
Pour venir à Paris mais aussi à Marseille et à Duisbourg, Cinemovel a besoin de 5 000 euros.
Vous pouvez contribuer à l’aide de la plateforme KissKissBankBank.
En échange d’un service :
– 5 euros et votre nom sera cité sur le site internet
– 15 euros : la carte postale
– 25 euros l’affiche
– 35 euros : le DVD de la campagne…
Vous avez jusqu’au 21 mai. Après cette date, si Cinemovel n’a pas récolté 5 000 euros, l’argent sera rendu aux contributeurs.
Cliquez : Cinéma antimafia
Arrêté à cause de son accent napolitain!
Mardi 14 mai 2013, la police italienne aux frontières a arrêté un napolitain de 53 ans. Il s’agit d’un trafiquant de drogue basé à Nice (cf. Présences mafieuses en France) et en Espagne (cf. Cosca del sol 2...) pour le compte de la Camorra (cf. TV5 monde : 7 jours sur la planète). Déjà arrêté au même endroit par la même brigande en 2008, il était recherché par la justice française depuis mars 2012 pour commerce de stupéfiants. Il devrait être extradé rapidement vers la France (cf. L’importance de l’harmonisation des lois antimafias)
Au moment de son arrestation, le trafiquant se trouvait à Vintimille dans le train en provenance de France. Il était en possession de faux papiers français. totalement indétectables. Et pour cause, sa carte d’identité était fait avec des vraies matériaux… Les Napolitains sont les rois de la contrefaçon… en raison de leur savoir faire (cf. Gomorra, le livre). Mais alors pourquoi notre trafiquant a-t-il été arrêté?
Et bien parce que le policier a été surpris par son fort accent napolitain peu en adéquation avec une carte d’identité française…
Un article pour tous les policiers sur le terrain que l’on ne remplacera jamais par des machines… à Stephan-Serpico et à tous les autres
Un article pour tous les Napolitains et leur accent…
Avant le 21 mai : 5 euros pour le cinéma antimafia à Paris?
Et financez la venue du cinéma antimafia en France
avant le 21 mai 2013
Pour venir à Paris mais aussi à Marseille et à Duisbourg, Cinemovel a besoin de 5 000 euros.
Vous pouvez contribuer à l’aide de la plateforme KissKissBankBank.
En échange d’un service :
– 5 euros et votre nom sera cité sur le site internet
– 15 euros : la carte postale
– 25 euros l’affiche
– 35 euros : le DVD de la campagne…
Vous avez jusqu’au 21 mai. Après cette date, si Cinemovel n’a pas récolté 5 000 euros, l’argent sera rendu aux contributeurs.
Cliquez : Cinéma antimafia
Un mafieux calabrais arrêté à Medellin (Colombie)
La police colombienne, en coopération avec les Carabiniers italiens, a arrếté Santo Giuseppe Scipione, 80 ans, à Medellin. « Papi » né à San Luca (cf. Fin de la faida de San Luca) et recherché depuis 2006 par la police italienne est un courtier en drogue : un « broker » de cocaïne, faisant le lien entre les fournisseurs colombiens et les clans calabrais (cf. Joint venture Bolivie-Calabre?). La justice italienne l’avait condamné en mai 2012 à 15 ans de prison pour son rôle dans l’opération « Decollo » (cf.‘Ndrangheta export).
Santo Scipione vivait depuis longtemps à Monteria en Colombie où se trouve une importante diaspora italienne à l’instar de Salvatore Mancuso, ancien leader des Autodéfenses Unies de Colombie (actuellement en prison aux Etats-Unis). C’est le 2ème broker arrêté en une semaine li (cf. La preuve par l’exemple)
Cf. Les narco-comptoirs des mafias italiennes en Amérique latine
Quelques éléments historiques de géopolitique
Par Fabrice Rizzoli
Les acteurs criminalisés qui prospèrent dans certains territoires précis dérogent totalement aux règles du système légal. Pour contrôler le secteur concerné, ils imposent mêmes leurs règles à la collectivité.
Cependant leurs réseaux et les flux de diverses natures qu’ils véhiculent s’articulent, et sont relayés, bien au-delà des frontières de ces espaces de non-droit, capables même de se projeter et d’opérer à l’échelle transnationale. C’est ce qu’illustre l’article de Fabrice Rizzoli sur les « narco- comptoirs » latino-américains des mafias italiennes.
La série de visuels de cette enquête principalement historique met en évidence la persistance dans le temps entre organisations mafieuses des deux côtés de l’Atlantique, et l’étendue des liens tissés depuis des dizaines d’années. Cliquez : Revue OGC
Soirée main basse sur Marseille… et la France contre le cinéma antimafia
6 rue de la Grange aux Belles
Métro Jacques Bonsergent
Rita Gigante : la fille du « oddfather »
Rita Gigante est la fille du célèbre parrain, Vincent « The Chin » Gigante, « Parrain » officiel de la famille Genovese (cf. La Cosa aux Etats-Unis). Son règne dura plus de 24 ans, de 1981 à 2005. Pendant cette longue période, le boss de la famille Genovese inventa un stratagème pour éviter toutes poursuites pénales. Il commença à jouer la comédie en 1969, Vincent Gigante risquait une lourde peine de prison pour corruption et il l’évita en feignant la maladie mentale. Les différents psychiatres du gouvernement étaient tous d’accord pour dire que Vincent Gigante était « schizophréne« , qu’il était atteint de « démence », de « psychose« , et d’autres troubles d’ordre psychiatrique. Même quand il n’était pas inculpé, Vincent Gigante préparait ses futurs mise en accusation. Surveillé en permanence par le FBI, il sortait de chez lui et déambulait dans les rues de New-York. Il était habillé en peignoir et d’un pyjama accompagné par ses gardes du corps pour arriver jusqu’à son club social le « Triangle Civic Improvement Association ». Pendant ses réunions, il parlait toujours à voix basse et il avait ordonné aux membres de la famille Genovese de ne jamais prononcer son nom mais seulement de toucher leur menton pour parler de lui. Il utilisa aussi plusieurs fois sa famille (sa mère, sa femme et ses enfants) dans ses différentes sorties.
Sa fille Rita Gigante décida de raconter sa vie au quotidien avec son père, parrain d’une famille de la Cosa Nostra (cf. La Cosa Nostra se porte bien)la plus puissante des États-Unis. Elle écrivit un livre à succès (The Godfather’s Daughter: An Unlikely Story of Love, Healing, and Redemption) et expliqua comment son père feignait sa maladie mentale. « Mon père était un brillant acteur. Et par la force des choses, je fut entrainé dans son univers« . Dans son livre, elle raconta une scène qui s’était déroulé en Septembre 1983. A cette époque, son père logeait dans un petit appartement si sombre qu’elle appelait « le donjon« . Assis sur le canapé dans son salon, Vincent Gigante lui demanda : « Rita, viens marcher avec moi« . « Je savais qu’il voulait que je fasse une promenade avec lui dans le parc. Quand mon père me demandait de marcher avec lui, cela signifiait qu’il voulait aller dans son club social pour parler affaires et surtout pour se montrer devant le FBI« . Avant de partir, il se changeait, retirait son pantalon et sa chemise pour enfiler un vieux peignoir en velours noir qu’il avait gagnait dans un casino à Las Vegas. Il n’oubliait pas non plus de se décoiffer et d’enfiler un vieux béret. La scène était presque surnaturelle, dans les rues de New-York, Vincent Gigante le boss de la famille Genovese se promenait en peignoir de bain aux bras de sa fille. « Une fois dehors, il commençait à traîner des pieds et à tituber. Mon père avait en quelques secondes changé de comportement. Devant moi, mon père qui était si puissant, était devenu un vieillard sénile, il était devenu fragile« . Elle continuait à raconter les détails de sa promenade : « Alors qu’on était en train de marcher, il n’arrivait plus à se tenir debout et il était sur le point de tomber. C’est alors que je devais lui tenir le bras pour faire semblant de le rattraper« . Par moment, il commençait à marmonner un charabia incompréhensible. Vincent Gigante pensait qu’il était enregistré et filmé en permanence par le FBI. Lors de cette sortie, il s’arrêta devant un parcmètre et commença à lui parler. « Nous allons faire une promenade, tu veux venir avec nous parcmètre?« .
En 1990, Vincent Gigante fut accusé par le gouvernement de racket et d’assassinat mais il fallut attendre 1997 avant qu’il ne soit jugé. Pendant cette période, les différents avocats de Vincent Gigante appelèrent plusieurs témoins pour démontrer que leur client était « fou » et « inapte« à être jugé. Mais dans les années 1990, de nombreux membres de La Cosa Nostra avaient décidé de collaborer avec la justice. La plupart avait démontré que Vincent « The Chin » Gigante était totalement sein d’esprit et qu’il contrôlait d’une main de fer la famille Genovese. L’un des mafieux à avoir révélé cette supercherie fut Salvatore Gravano l’ancien underboss de la famille Gambino. Dans son livre « Le Repenti » de Peter Maas, Salvatore Gravano avait assisté à une réunion officielle de la « Commission ». Il raconta : « Vincent Gigante était arrivé en peignoir et en pyjama avec une barbe de 4 à 5 jours. Il avait l’air vraiment crado« . Pendant cette réunion, John Gotti avait prétexté que la famille Genovese n’avait plus initié de membres depuis très longtemps. Vincent Gigante lui répondit calmement « Le moment venu, je procéderai aux changements nécessaires dans ma famille. Je te remercie de te soucier de nous, mais je le ferai quand je serai prêt« . Pour Salvatore Gravano, Vincent « The Chin » Gigante avait bien toute sa tête et la comédie qu’il jouait auprès du FBI marchait parfaitement. En effet, lors du procès de la « Commission » intenté par Rudolph Giuliani, ancien procureur fédéral et futur maire de New-York contre les Boss des cinq familles de La Cosa-Nostra en 1985, Vincent Gigante n’avait pas été inculpé. Ce fût son « underboss » Anthony « Fat Tony » Salerno qui le fut à sa place. Vincent Gigante jouait tellement bien la comédie, que le FBI pensait qu’Anthony « Fat Tony » Salerno était le Boss de la famille Genovese, mais il se trompait.
En 1997, Salvatore Gravano qui était toujours dans le programme de protection des témoins, scella le sort de Vincent Gigante lors de son procès. Son témoignage fut confirmé par Alphonse « Little Al’ D’Arco, l’ancien « acting boss » de la famille Lucchese et par l’ancien underboss de la famille de Philadelphie, Phil Leonetti. Finalement le jury le déclara coupable de racket et le condamna à 12 ans de prison dans un pénitencier fédéral. En 2002, alors qu’il était emprisonné, il fût de nouveau condamné pour racket et obstruction à la justice, après avoir avoué avoir mentit pendant plusieurs années à la justice sur son état mental. En 2005, sa santé commença à décliner et il mourra dans un hôpital fédéral à Springfield dans le Missouri, il avait 77 ans.
Depuis la mort de son père, Rita Giganta avoua publiquement son homosexualité (cf. Mafias et différences) et admit même que son père lui avait donné son consentement de l’au-delà ». Rita Gigante exerce le métier de « guérisseuse » et prétend être contact avec les « morts » dont son père. « Il va bien et il aime ma fiancée (Bobbi Sterchele)« . Rita Gigante confia qu’elle avait jamais parlé ouvertement de son homosexualité avec son père quand il était encore vivant, mais qu’au fond de lui « il avait compris« . « Mon père était quelqu’un de très intelligent, j’ai toujours pensé qu’il aurait pu être PDG d’une grande entreprise« . Rita Gigante à même prévu de se marier et de fêter son mariage avec toute sa famille. « Ma famille est aux anges, elle voit comment je suis heureuse et c’est le principal« .
Par Xavier Blondel + A.S (wiseguy.overblog.com / www.facebook.com/wiseguyblog)
Du même auteur :
– Initiation en Peignoir : la classe
Tous les mots en gras sont dans le Petit dictionnaire énervé de la mafia en vente chez Ethicando (6 rue de la Grange aux Belles 75010 Paris) ou sur Amazon.
Giulio Andreotti n’est donc pas divin
Le 2 mai 2003, la cour d’appel affirme qu’Andreotti a « commis » le « délit de participation à l’association de malfaiteurs » (l’association mafieuse date de 1982 ndr) « concrètement établie jusqu’au printemps 1980 », qui cependant est « éteint pour prescription ». En revanche Pour les faits postérieurs au printemps 1980, Andreotti a été acquitté…
Le 15 octobre 2004, la Cour de Cassation, p. 211 affirme : « Donc la sentence saisie, au-delà de ses affirmations théoriques, a reconnu la participation au délit d’association non dans les termes réducteurs d’une simple disponibilité, mais dans ceux plus vastes et juridiquement significatifs d’une concrète collaboration (…) ».
Juridiquement innocent ; Giulio Andreotti est, au regard de l’histoire, coupable de complicité avec la mafia
PS : Mercredi 11 décembre 2009, grâce à Anteprima ce fut génial! Il divo est un film époustoufflant qui retrace l’activité politique de Giulio Andreotti au centre de la vie politique italienne pendant plusieurs décennies et aussi allié objectif de la mafia.
Un extrait :
52 tonnes de haschisch saisies en Espagne, un record en Europe
Un record ! La police espagnole a annoncé dimanche avoir saisi 52 tonnes de haschisch dans un entrepôt à Cordoue, en Andalousie, dans le sud du pays. Il s’agit de «la plus importante saisie en Espagne et un record également en Europe».
«C’est la plus importante quantité de haschisch saisie dans notre pays» depuis 1996, lorsque 36 tonnes de haschisch avaient été saisies en mer sur un cargo panaméen, dans le port de Marin en Galice (nord-est)», se félicite la police dans un communiqué.
Les 52,6 tonnes de haschisch étaient entreposées dans un hangar d’une zone industrielle de Cordoue, selon la même source. La police a pu localiser cette cargaison grâce au témoignage d’une personne qui se trouvait dans la zone pour chercher une machine. Il a «surpris plusieurs personnes qui avaient sans doute l’intention de dérober les ballots de haschisch», précise le communiqué.
La police n’a pas fourni de plus amples détails sur l’opération. La garde civile avait déjà fait état, vendredi, de la saisie le 27 avril d’un chargement de 32 tonnes de haschisch dissimulées dans un poids lourd en provenance du Maroc.
(Cf. Les narco-comptoirs des mafias italiennes en Amérique latine )
Contre les mafias : le cinéma itinérant antimafia
Mafias, criminalités : un enjeu européen?
Fabio LIBERTI, directeur de recherche à l’IRIS, commença par une présentation de la conférence-débat organisée en partenariat avec la Maison de l’Europe et l’Observatoire Géopolitique des Criminalités (OGC).
Puis Fabrice RIZZOLI, auteur du Petit dictionnaire énervé de la mafia et docteur en sciences politiques enchaîna par une présentation personnelle et une introduction.
1. mafias crime organisé : c’est quoi?
Definition officielle (ONU convention de Palerme 2000)
Exemple de ce jour partout en Europe grâce à Crimorg.com
Le paradigme des mafias italiennes : la criminalité la plus aboutie et la mieux étudiée
2. Légal/illégal : vers la fin d’un distinction
Cliquez Mafia : entre illégalité et légalité…).
3. les Solutions
– Face à ce péril démocratique, une commission parlementaire européenne Cliquez CRIM,
– La France…
– La régulation publique des drogues (cf. un autre monde est possible)
– Le modèle italien… Contre les biens mal acquis : la réutilisation des biens confisqués
ou Contre le crime organisé : pour une confiscation-redistribution
Et c’est la que l’intervenant sort une arme fatal contre la mafia, les Taralli faits par des coopératives sociales sur des terrains confisqués aux mafieux.
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Cliquez : Cinéma antimafia
30 avril 1982 : Pio Latorre, le père de la confiscation avec le cinéma itinérant antimafia
En 1980 un député communiste, Pio La Torre, proposait une loi géniale contre les mafias : l’association mafieuse. Il proposa aussi une loi de confiscation révolutionnaire contre les mafias (expliqué dans le Petit dico vénère ou Ici). La loi de confiscation préventive (administrative) sera promulguée en 1982 après son assassinat. Puis, en 1996, la société civile obtiendra la redistribution de ces biens (cf. L’arme qui peut tuer la mafia : la réutilisation des biens confisqués). Voici le résultat : la maison des mafieux transformée caserne de la Garde des Finances à Goia Tauro (cf.Le port-conteneur de la ‘Ndrangheta).
Retrouver la dernière vidéo (tous les autres sur le site de FLARE France à droite qui montre le pouvoir de la confiscation-restitution. Ici, il s’agit d’une série de documentaires sur l’huile d’olive en méditerranée (Grèce, Espagne…) et sur l’Italie, 18 minute d’huile d’olive antimafia.
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