Italie, l’omertà d’État au secours de Cosa Nostra
L’idée que l’état a négocié avec le mafia en 1992/1993 est déjà prouvé d’un point de vue historique. Dans cette article dés 2002 12 janvier 2002, un étudiant et un colloque sur les attentats de 1992-1993. et dans une thèse dont vous trouverez un extrait Le terrorisme mafieux dans la crise du système politique italien.
Mais en ce moment, la justice italien tente de prouver dans un tribunal que la négociation est venue de l’Etat et non de la mafia qui en assassinant Lima, Salvo et Falcone ne faisait que punir ces anciens allée (Lima et Salvo) et ses ennemis (Falcone) pour avoir mené à terme le maxi-procès le 30 janvier 1992 (cassation).
Il est pour le moins singulier que certains s’emploient à nier le travail des magistrats. Enrico Porsia de Bakchich info (cf. La mafia calabraise vue par Bakchich-info décode :
« L’Etat italien a bien négocié avec la mafia pour que cesse la vague d’attentat du début des années 90. Des tractations, jonchées de cadavres, et couvert du sceau du secret. Que des magistrats, souhaitent, vingt ans après faire sauter.
Il y a 4 ans le parquet de Caltanisetta avait réouvert l’enquête sur les assassinats des juges Falcone et Borsellino et le parquet de Palerme celle concernant les tractations entre l’État et la Mafia.
Le 24 juillet dernier, le parquet de Palerme a demandé que 12 personnes soient renvoyées devant les juges pour répondre «d’attentat à un corps politique de l’Etat »…
La suite : Enrico Porsia
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